Après mon CAC je pensais prendre 2 jours de congés, ben non, Sergio encore en repos vendredi donc faut y aller
Pffffffffffffffff. Je l'embarque en voiture à 6h45 via St Flour, au passage au col de la Fageolle, ca craint brouillard humide on descend sur St Flour, le soleil est là ouf. Sur le vélo à 7h45,
on file sur Langeac.Plus on monte plus ca
craint
Et voila, en plein brouillard
mouillant, vélos et tenues degueus
A l'approche de Langeac, ca se
lève
Arrêt café à
Langeac
Chanteuges, joli
village
Encore un beau
village
On attaque la vallée de la
Desge
Oué, rale pas
j'arrive!
On arrive à
Venteuges
On entre dans le village voir si
par hasard la maison de nos amis cyclistes est occupée, personne, Sergio laisse un souvenir de notre passage. Nous aurions aimé voir le proprio René, nous avons une pensée pour le fiston en
balade en Inde et auparavant en Chine, salut JB, on pense à toi et également à la frangine Cécile.
Venteuges
Saugues, c'est le jour de marché, on en profite pour se ravitailler à la boulangerie, Sergio d'un naturel assez timide tape la discute avec la
jeune et jolie boulangére, bon, on y va? ha ha, il est pas pressé.
Sergio bouffe en regardant Nadal
Rond point de Saugues, là y a des sous pour créer des conneries alors qu' au camping les sanitaires sont les mêmes depuis 30
ans.
T'as bonne mine ha
ha
Faut être con ha
ha!
Nous quittons Saugues pour le
Malzieu par le pas de l'âne 1400m
Vouahhhhhhhh le mollet! ca
craint
Quelle senteur, c'est autre chose
que ces parfums de bonnes femmes qui puent ha ha.
Ca grimpe fort
Que la campagne est
belle
Descente sur le
Malzieu
Sergio m'attend à
l'ombre
Le Malzieu, ville fortifiée, ca se
voit.
Et l'autre, c'est pour ferrer les
vaches pas pour changer les cales ha ha.
Sous Paladine, un village au
dessus de la Truyére avec un point de vue magnifique
En face on distingue le chemin qui monte à Loubarresse, village de mes grands parents
Quelle vue
reposante
Je resterais bien
là
De retour à St Flour, devant un bon demi! Et ho Sergio, c'est pas le moment de dormir.
148 km et 2400 de dénivelé.
Vive la retraite