Sergio en vacances ( encore) il serait bien parti quelques jours, pourquoi pas, mon emploi du temps n'est pas trop chargé , on pensait aller dans les Alpes mais la météo n'est pas très engageante, ce sera l'Espagne, on réserve un hôtel la veille et c'est parti.
La vue en prenant notre petit dej
Nous arrivons en début d'aprème, installation dans la piaule vite fait et on saute sur le vélo, temps gris.
On longe la côte et c'est pas plat.
Ca vaut le coup d'oeil.
Très peu de circulation, pas plus loin et largement mieux que le coin pourri du Lavandou blindé de bagnoles.
Un demi à Tossa.
Le lendemain, le ciel s’éclaircit et la température monte.
On a repéré un petit troqué sympa, chez Mohsen, un bon Kebab, j'ai fait un tour dans les toilettes, super propre, vue sur les cuisines, nickel.
Balade en bord de mer.
Troisième jour, 190 bornes de prévu, on a le temps, le petit dej pas avant 8h et super copieux, des pains au chocolat d'une taille encore jamais vu en France On fait petit dej et repas de midi en même temps.
Un peu étonné du peu de circulation.
J'avais séjourné à Lloret de Mar en 2013, on y passe au retour de notre balade, un monde fou ici, de nombreux jeunes viennent faire la bringue, du bruit et des beuveries, nous sommes plus tranquille à San Feliu.
Je reconnais l’hôtel.
Un petit demi sur la plage de Tossa.
Plus qu'à attendre le repas du soir, un buffet très chargé en bouffe, faudrait pas rester un mois, risque de doubler de volume . Des plats délicieux et des desserts!!!!
Notre hôtel est situé sur une route sans issue, aucun bruit.
Jour 4, c'est le dernier, j'ai trouvé ces parcours sur le net, pas déçu.
Un dernier Kébab
On se tape l'apéro, Sergio en boit rarement aussi effet immédiat, j'ai failli le ramener à table.
Séjour court mais suffisant, hôtel qualité prix vraiment rien a redire, propreté impeccable, je serais tenter de dire mieux qu'en France, personnel très poli et efficace. En ville le piéton est roi, à l'approche d'un passage protégé les voitures stop, pas comme en France, mais sur la route les Espagnoles conduisent comme les Français, on en a vu un arrivé face à nous en pleine gauche ( c'était peut être un Français )
A l'aller on descend sur Millau, pas envie de payer le passage sur la passerelle , arrêt café dans un bar, le patron vient serrer la main, c'est un cycliste, son frère est journaliste au magazine Le Cycle, discussion sympa. Retour idem.
Vive la retraite