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  • : Le blog de Veloblan
  • : Balades à vélo route VTT et marche dans mon Auvergne
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  • Veloblan
  • Vieux grincheux mais sympa.
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Météo

Strava

Kilométrage

  KM Dénivelé
2009 21522 209578
2010 22034 220935
2011 25545 247360
2012 25605 264901
2013 25435 245316
2014 26367 262585
2015 20899 192728
2016 22815 215402
2017 23412 229890
2018 21079 195913
2019 22419 195909
2020 26017 251984
2021 25525 209404
2022 25614 208131
2023 23592 195003
2024 23493 182687
2025 6394 45836

 

 

24 juin 2016 5 24 /06 /juin /2016 20:00

Inscrit depuis longtemps a ce raid, le jour J est enfin là, mais voila, je n'ai pas assez mesuré la difficulté de cette épreuve surtout à vélo couché, bref, le départ est donné à 21h, nous sommes 27 sur 37 inscrits a prendre le départ, le peloton reste groupé jusqu'au pied du Pic de Nore, nous sommes 2 vélos couchés en queue, a l'approche du Pic de Nore l'orage éclaire le ciel mais pas d'eau, le dernier km est dans un brouillard très épais, je ne vois plus la route, j'aperçois des lumières, ce sont 2 auvergnats qui enfilent le kway, je n'avais même pas vu que j'étais au sommet, vite je me lance derrière eux, je roule dans l'herbe à 2 reprises, je ne vois rien! Ouf 1 km plus bas le brouillard a disparu, mes 2 auvergnats vont me larguer dans le col de la Croix de Sous, je monte péniblement, le repas du soir tente une sortie, il pleut l'orage gronde puis un éclair très violent en même temps le tonnerre, je suis aveuglé, je pense mon Garmin éteint et plus de lumière a mon phare, grosse panique, en fait je suis resté 10 secondes aveuglé, je suis en panique il n'a pas du tomber loin. Je file dans la descente il pleut fort et l'orage disparaît. Plus de force dans les jambes, je vois un panneau Carcassonne, c'est bon je rentre. Terminé pour moi. C'est Bribri qui va être soulagé de me voir rentrer à 2 h du mat.

Photos

L'ERB11 à Carcassonne

La permanence

L'ERB11 à Carcassonne

Nous faisons plus ample connaissance avec les engagés dans cette galère ( on ne s'en doute encore pas)

L'ERB11 à Carcassonne

Bertrand a tout prévu, le plat de pâtes en terrasse a 2 pas de la permanence.

L'ERB11 à Carcassonne

On se régale.

L'ERB11 à Carcassonne

Un solide au premier plan, dans les 3 premiers.

L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne

Bertrand a embauché un speaker, il est au top.

L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne

Bertrand m'encourage.

L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne

Les 4 auvergnats, un seul ira au bout Irvin, les 2 autres moins aguerris n'ont pas démérités. Et moi heu!!! kes que je fous là.

L'ERB11 à Carcassonne

Et dire que seulement 10 seront finishers. Non seulement nous allons tous prendre l'orage mais ensuite un gros vent de face et là bas c'est pas du vent d'Auvergne, faut être solide.

L'ERB11 à Carcassonne

Départ devant la porte Narbonnaise

L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne

Le lendemain avec Bribri nous filons à Quillan au km 350 ou un conséquent ravito attend.

L'ERB11 à Carcassonne

Toute la famille de Bertrand est sur le pont, les parents, l'épouse, leurs 2 filles + les cousins, ils répondront a toutes les demandes, de vrais pros.

L'ERB11 à Carcassonne

En fait je ne regrette plus mon abandon, je vais enfin voir les solides, ils commencent à être bien entamés, le vent fait des dégâts pourtant le plus dur est a venir.

L'ERB11 à Carcassonne

Les 3 premiers!

L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne

Un petit somme qui a duré 5 mn et c'est reparti, mais comment font ils? Tout ca pourquoi? pour rien, ils repartiront avec une casquette et une bouteille de vin et content d'en avoir fini, c'est clair, c'est pas des fouteux, ils ne recherchent pas la gloire seulement le plaisir de l'effort gratuit. On ne parlera pas d'eux dans le journal, pourtant combien sont ils capable d'en faire autant? une poignée.

L'ERB11 à Carcassonne

Voila un second groupe, je suis super content de voir Irvin un peu entamé, normal mais je suis absolument certain qu'il ira au bout, c'est sa première longue distance, il n'a pas choisi la plus facile, quand on pense que tout ce petit monde était encore au boulot la veille. Dés l'arrivée après quelques heures de repos tout le monde repart pour retourner au boulot, certains en train, d'autres en voitures sur Lyon, Bordeaux, Perpignan, Clermont Ferrand, Baptiste en Corréze!

L'ERB11 à Carcassonne

Chapeau Irvin, tu m'épates, une vraie machine.

L'ERB11 à Carcassonne

En fait a par tes pneus, tout va bien hi hi.

L'ERB11 à Carcassonne

Le guerrier se prépare a repartir après une petite heure de repos.

L'ERB11 à Carcassonne

Baptiste, un sacré jeune, tout juste 27 ans, il part sur des trucs la fleur au fusil, pas de vêtement de pluie, le strict minimum. Il n'était pas en bon état, mal a un genou les copains l'ont motivé, il est reparti. Indestructibles ces mecs, pas une plainte.

L'ERB11 à Carcassonne

La sacoche d'Irvin.

L'ERB11 à Carcassonne

Le mécano a l'oeuvre, ils ont tout prévu même la station de graissage.

L'ERB11 à Carcassonne

Le staff

L'ERB11 à Carcassonne

Le second groupe de 6 sur le départ avec Bertrand qui va pratiquement faire tout le boulot ( il va dire que c'est pas vrai mais Irvin m'a confirmé)

L'ERB11 à Carcassonne

Les parents de Bertrand très impliqués dans l'organisation, le papa a 3 PBP a son actif, pas étonnant que le fils marche. Yvette la maman a du se lever tôt ce matin, quelle motivation.

L'ERB11 à Carcassonne

Après la seconde nuit je file a la permanence en espérant voir les premiers, je tombe sur Cyssou qui a fini autour de 5h du mat avec ses 2 collègues, il me dit avoir trouvé le parcours difficile ( je ne risquais pas d'arriver)

L'ERB11 à Carcassonne

Dans la matinée arrive le groupe Bertrand, ca y est c'est fini, un sacré bonheur!

672 km , j'ai vu des garmin affichés 8400m de dénivelé, même s'ils sont un peu optimistes il devait bien y avoir 8000.

L'ERB11 à Carcassonne

8 arrivants, 2 autres vont suivre dans les délais, ils finissent seuls a quelques mn l'un de l'autre, un sacré mérite les gars.

L'ERB11 à Carcassonne

Je discute un moment avec Jean ( au milieu) il va s'endormir en me parlant!

L'ERB11 à Carcassonne

Maxime, chemisette et short, mais qui dirait qu'il vient de faire 672km, même pas de cuissard et pas mal aux fesses ou si peu, ils sont incroyables.

L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne

Quelle famille, des gens simples toujours prêts a rendre service sans attendre de retour.

L'ERB11 à Carcassonne

Dans l'attente des derniers, une jeune fille demande de l'aide, dérailleur cassé, elle vient de Barcelone et se dirige sur la Dordogne avec un vélo que je ne prendrais même pas pour aller chercher le pain hi hi. Le neveu de Bertrand apporte la caisse a outil, change le dérailleur avec quelques difficultés, il a fallu tarauder le cadre, et tout ca avec le sourire, quand je vous dis qu'ils sont exceptionnels

L'ERB11 à Carcassonne
L'ERB11 à Carcassonne

La réparation se termine, la jeune fille ( Camille) va repartir contente.

L'ERB11 à Carcassonne

L'avant dernier

L'ERB11 à Carcassonne

Et le dernier homologué, on discute, j'admire le calme de ce cycliste, il est tout souriant et content, bravo, jamais je n'aurais pu boucler ce parcours.

L'ERB11 à Carcassonne

Un parcours exigeant fait pour des solides, à vélo couché je ne pense pas que soit possible du moins pas en 40h, j'ai su que sur la fin un bon paquet de bosses à 17 %, moi c'était à pied!

Avec ma Bribri nous avons passé 2 journées super, côtoyé la gentillesse et la simplicité, et des cyclistes d'une grande modestie.

Bravo

 

 

L'ERB11 à Carcassonne

Les finishers

Récit d'un Rider arrivé dans les 3 premiers

 

ERB11 édition 1
J’ai découvert cette épreuve par hasard au travers d’un forum.
Après le PBP l’an dernier qui m’a donné goût à la longue distance et au roulage de nuit, je me dis que c’est l’occasion de rempiler pour une belle promenade chez nos voisins Audois. 
Entre temps, je m’inscris à la BTR et oublie un peu cet ERB11, pensant m’inscrire au dernier moment puisque ne sachant pas trop comment j’allais récupérer de Vézelay-Barcelone.
Un petit tour sur le site quelques temps plus tard et je m’aperçois que les inscriptions sont closes ! Mince…
J’envoie un mail à Bertrand, organisateur de ce tour de l’Aude, qui gentiment me rajoute sur la liste des inscrits. Le premier contact par mail m’a montré d’emblée à quel point le personnage est passionné et ultra sympathique.
La BTR s’étant bien passée et ne m’ayant pas trop laissé de séquelles (à part deux doigts !), je suis confiant pour cet ERB qui sur le papier est quand même plus « facile ». Le seul truc qui me chiffonne, c’est la météo qui nous attend : les prévisions sont mauvaises avec des orages, de la pluie et du vent annoncés.
Une sortie d’une centaine de kms quelques jours avant histoire de se dégourdir les jambes et me voilà en voiture pour Carcassonne vendredi en fin d’après midi.
Etant un peu en retard sur ma prévision d’arrivée, je me rends à la cité directement.
Tout le monde est déjà présent et Bertrand m’accueille chaleureusement. Un petit passage devant le speaker permet aux participants de se présenter.
Sur 37 inscrits, nous sommes seulement 27 au départ.
21h00, tout le monde s’élance pour cette première édition. Sortis de la ville, on se retrouve à trois pour entamer ce périple.
Pour l’instant, tout va bien, le ciel est chargé mais il ne pleut pas, la température est agréable et le niveau du groupe est homogène.
L’ascension du pic de Nore se fera sans grande difficulté mais un brouillard épais nous accompagnera dans les derniers kilomètres , à tel point que je dois me repérer au GPS pour anticiper les virages ! Le pic ne trahira pas aujourd’hui sa réputation.
Photo, coupe vent puis redescente prudente en croisant les autres participants qui montent.
La descente nous réservera une agréable surprise puisqu’une biche nous accompagnera durant une dizaine de mètres.
La traversée du Minervois jusqu’à la côte sera pénible : alternance de pluie et d’accalmies mais avec en permanence une route trempée et un vent, bien que favorable, usant car latéral par moments.
Photo aux Cabanes de Fleury, on en profite pour recharger en eau puis on attaque quelques kilomètres avec 90 km/h de vent de face avant de bifurquer vers le sud.
Je commence à être bien entamé à cause de cette météo qui ne nous épargne pas.
A Narbonne, je laisse mes compagnons de route filer et je m’octroie une pause. Je n’ai plus de forces, je suis fatigué et mentalement au plus bas. Dans ma tête, je file jusqu’à Port La Nouvelle et je prends le train pour rentrer. Je connais la suite et la perspective de rouler 50 ou 60 kms contre le vent ne m’enchante guère, surtout dans mon état de fatigue.
Je repars un peu mieux et reprends Laurent et Cyrille qui se sont arrêtés quelques kilomètres plus loin. Ils me motiveront pour poursuivre.
A Fitou, pause dans un point chaud où on dévalise presque le stock de pains au chocolat !
Cet arrêt m’a vraiment requinqué et c’est le ventre plein et le moral au plus haut que l’on reprend notre route contre une tramontane à 90 km/h.
Col de Feuilla, Tuchan, la progression est lente et on y laisse pas mal de jus. On décide donc d’un arrêt supplémentaire à Duilhac de Peyrepertuse dans une épicerie afin de prendre des forces pour rallier Quillan où se trouve le ravitaillement.
La suite est un peu plus abritée du vent mais la succession de petits cols commence à bien marquer les corps. Cyrille n’est pas bien depuis quelques dizaines de kms mais il s’accroche et serre les dents. Mes deux compagnons du jour sont des guerriers au mental d’acier, c’est vraiment plaisant et instructif de rouler avec eux, d’autant qu’ils ont de l’expérience dans les longues distances.
Quillan nous accueille enfin. Nous sommes à mi-parcours seulement et le plus dur reste à faire : les Pyrénées Audoises et la montagne noire pour terminer.
Alors là je dois dire que j’ai été bluffé par le ravitaillement !!! Un buffet gigantesque, une variété dans les plats (faits maison !!) proposés, et un accueil exceptionnel. 
Les organisateurs sont aux petits soins, souriants, gentils. Bref, on sent qu’ils sont vraiment passionnés par ce qu’ils font.
Ma chérie devant me retrouver vers Chalabre, je décide de repartir tout seul, laissant mes deux comparses se reposer un peu plus. Ils me rejoindront plus tard.
L’ascension vers Roquefort de Sault est magnifique : une petite route très peu fréquentée mais avec un beau pourcentage moyen. Après plus de 350 kms, elle calme un peu quand même ! Je continue sous une bruine pas trop dérangeante et entame, après le col de Garavel, la remontée vers le plateau de Sault. Je suis en retard sur le planning fixé au départ, à savoir terminer en 27h00. Tant pis, j’étais à deux doigts d’abandonner, donc c’est déjà bien d’être là !
Une descente rapide m’emmène au pied du col des sept frères. Je suis encore loin de Chalabre et Adeline décide de s’avancer à ma rencontre vers Belcaire. Ce col, je m’en souviendrai ! Non pas qu’il soit dur, mais la fin est interminable ! Une sorte de faux plat montant usant qui dure quelques kilomètres alors qu’on croit être arrivé au sommet.
Une petite parenthèse coup de gueule en passant pour les concurrents de l’Ariègeoise (qui se déroulait le même jour) : ce sont de véritables porcs ! J’ai découvert une route jonchée de détritus : emballages de barres, tubes de gel…. C’est vrai que remettre dans sa poche un emballage, ça prend vachement de temps ! Ces comportements sont intolérables et c’est en partie à cause de ces gens là que je ne fréquente plus trop ce genre d’épreuves.
Bref, je rejoins Adeline et ses parents quelques kilomètres plus loin pour un arrêt bienvenu : je viens de passer plus d’une heure sous la pluie et dans le froid.
Ils m’ont apporté un maillot propre (le mien est trempé) et de quoi manger.
Je me pose une bonne demi-heure histoire d’attendre Cyrille et Laurent, qui arrive finalement tout seul.
Cyrille n’a pas encore bien récupéré et Laurent a préféré tracer pour ne pas se refroidir et attraper mal.
Nous poursuivons donc jusqu’à Chalabre pour un arrêt au bar recommandé par Bertrand dans son Road book. Cyrille nous rejoins peu après.
La suite nous met en confiance : le Lauragais c’est plat, on va pouvoir se refaire un peu avant d’attaquer la montagne noire en dessert.
Alors le Lauragais en fait, ce n’est pas plat du tout. La seule route plate, c’est celle qui relie Castelnaudary à Toulouse, le reste est vallonné, mais plus du genre vallonné usant que vallonné tranquille, surtout après plus de 450 kms !
Cette partie là on l’a vécue comme un enfer : une succession infinie de courtes montées aux forts pourcentages et surtout l’impression de tourner en rond (« mais on n’est pas déjà passé là tout à l’heure ? »). La moyenne s’en ressent et on n’avance pas.
Le passage du canal du midi est un soulagement, on va enfin entamer la dernière partie !
La fatigue commence à se faire sentir et les pauses se multiplient : un arrêt de bus, un morceau de pelouse, tout est bon pour dormir un peu. C’et plus prudent car en descente, les trajectoires deviennent de plus en plus aléatoires, et à 50 km/h, le risque est trop grand de se sortir. D’ailleurs avec Cyrille, on n’est pas passé loin de la chute à cause d’une bestiole qui a traversé entre nous deux.
Paradoxalement, la fin m’a semblée moins dure que le Lauragais alors que sur le papier, il y avait plus de d+.
Nous arrivons enfin au terme de ces 675 kms à l’entrée de la cité, fatigués mais très contents d’avoir vaincu ce parcours.
Je tiens particulièrement à remercier Bertrand et sa famille pour leur accueil vraiment exceptionnel. Des passionnés comme eux, il n’y en a pas beaucoup et c’est vraiment un honneur pour moi d’voir participé à cette première.
Je remercie aussi mes deux compagnons de route, Laurent et Cyrille, pour leur bonne humeur tout au long de cette épreuve. J’espère sincèrement qu’on aura l’occasion de rouler ensemble à nouveau.
Un énorme merci à ma chérie et à ses parents pour être venus me soutenir et me ravitailler. Je les ai fait attendre pendant des heures….
Et en conclusion, j’ai été surpris agréablement par la difficulté de cette épreuve. Les conditions météo y ont contribué mais aussi certaines portions très peu roulantes.
Enfin, je trouve que l’état d’esprit général est vraiment génial. Il y a une solidarité formidable entre les participants, pas de prise de tête, pas de plaintes. Juste des gens simples et humbles qui ne se prennent pas la tête.
Merci !

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commentaires

M
Bonjour Michel, Irvin est passé à l'atelier ce matin et nous a parlé de l'ERB. Ca avait l'air d'être une très belle épreuve, dans un très bel esprit. C'est super que ce genre d'événement se développe! Félicitations pour le compte-rendu, on vit le truc!
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V
Bonjour Matthieu, Irvin, c'est un solide, un beau truc l'ERB mais pas fait pour un vélo couché ( je ne connaissais pas la difficulté) les 10 arrivants sont des champions. Dommage que ces longues distances n'est pas débuté avant, ca m'aurait plus. Merci
R
Super le récit! Rien que pour ça ça valait le coup que tu y ailles. Et puis, comme tu dis, y a les rencontres. Un grand bravo à Irvin pour sa performance ! et c'est chouette qu'il ait attrapé le virus de la longue distance! De grandes aventures en perspective !
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V
Salut Rémi, c'est clair Irvin c'est une bête, il cale jamais! Je suis d'accord que cela valait le coup d'y aller, une équipe d'organisateurs au top super sympa
I
Impressionnant à lire !! Respect à tous les participants ! Vraiment des warriors !! Dommage pour toi Michel mais je suis sûr qu'un jour tu referas un truc dans le même genre !! ;)
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V
Et oui, comme toi je prends un an tous les ans hi hi hi
I
C'est pas souvent que tu parles comme ça dis donc, ça sent le coup de vieux là dis donc :D :p
V
Salut Idris, heu tu oublies que je prends un an chaque année et que ca compte double hi hi
R
Excellente analyse de la difficulté ! Un grand coup de chapeau aux participants , un effort un peu "surhumain" ( lors d'un vol pour l'Aéropostale, Guynemer qui avait atterit dans la Cordillère des Andes , réparé son avion, puis reparti; avait écrit " ce que j'ai fait , aucun animal ne l'aurait fait " ) pour une casquette et une bouteille...Ca c'est du sport digne des Transatlantiques en solitaire ! Et on ne peut qu'applaudir les organisateurs ( et maudire la météo).
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V
Belle analyse! c'est bien un peu ca. Du vrai sport et de vrais cyclos!
B
Merci pour ce compte rendu. J ai decouvert ton site l annee derniere pendant les brevets. Mais c est la premiere fois que je discutais avec toi. J espere pouvoir partager une sortie dans les volcans dans un future proche. A bientôt.
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V
Salut Baptiste le solide, Irvin m'a beaucoup parlé de toi. A l'occasion quand tu viens dans le coin pour des brevets ou autres, tu te signales je t'hébergerais avec plaisir et quand tu veux A bientôt
K
Bel article. Dommage que tu aies eu l'orage, tu aurais peut-être continué sans ça. Mais c'est vrai que le vent dans cette région est terrible. Je suis bien contente d'habiter dans le Jura. Je suppose que tu as déjà d'autres sorties exceptionnelles de prévues ? Bisous à vous deux.
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V
Salut Kiki, dans tout les cas je ne serais pas allé au bout, trop difficile. Ben oui d'autres trucs de prévu, je me décourage pas, bizz
A
Là bas, c'est le vent qui rend fou<br /> Pas facile de rouler quand il est de sortie, j'en ai fais les frais plusieurs fois :-/ <br /> Dommage pour l'abandon, mais quand la tête et le corps ne veulent pas, il est préférable de dire stop.
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V
Salut, oué quand tu lis le récit des solides, tu vois que c'etait pas un truc pour moi, le vent souffle trop fort, dommage une belle organisation mais je n'y retournerais pas, a Carcassonne peut être mais pas sur l'ERB11
A
Je viens de voir le récit de Paul :o :o<br /> 90km/h en vent de face !! Je compatis, c'est difficile dans ces conditions; déjà à 60/70km/h c'est dur physiquement et mentalement, au-delà, je n'ose imaginer surtout sur de la longue distance.<br /> Pour le Lauragais : c'est le piège : on croit que c'est plat, mais c'est vallonné; c'est pour cela que je n'aime pas trop ce coin, ça peut fatiguer beaucoup quand on ne connaît pas.<br /> Sur son Strava, je vois tout le parcours :) je connais toute la partie Montagne Noire (mon terrain de jeu quand j'étais "jeune"). Il y a quelques passages pas faciles sur le parcours (les kms avant Roquefort de Sault et la face sud du Pic de Nore) ! Bravo à ceux qui l'ont fait (partiellement ou totalement)
V
Salut Alex, c'est clair que c'était mal barré pour moi, j'ai évité la galère mais content d'être aller là bas, j'ai côtoyé de la crème!
V
Ah les remparts de Carcassonne...! Tu as fait le maximum et la sagesse t'as fait renoncer. Bravo pour cet excellent reportage. Chapeau à tous les engagés et aux organisateurs. Décidemment la météo de ces derniers mois perturbe beaucoup de manifestations. Cela restera tout de même de bons souvenirs. A+
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V
Bonjour, pas de regrets, j'en aurais trop bavé. J'ai fait de super rencontres, content d'y être aller! @+ Pierre
B
Bonsoir Michel,<br /> Superbe reportage au cœur de l'événement !<br /> Les solides dont vous faites partie malgré votre (sage) abandon m'inspire vraiment respect et admiration car se lancer dans de tels rallyes pour la beauté du geste...chapeau bas !<br /> Je suis sur que ca n'est partie remise pour vous.<br /> Benjamin
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V
Bonsoir Benjamin, non si on compare avec ces clients, je ne suis pas un solide ( bon y a l'age) mais j'aime ces cyclistes qui se donnent pour rien, seulement par amour du sport extrême.<br /> J'espère pouvoir participer avec ce vélo au prochain PBP, merci.
L
Super le reportage et vraiment un grand bravo à ces forçats de la route<br /> Quelle leçon ! Surtout avec l'orage !<br /> Le vélo couché c'est vrai que sur le PBP serait un avantage, là c'est vrai que c'était plus un boulet<br /> Bravo à toi et tu as eu la sagesse de ne pas faire les kils de trop <br /> Chapeau bas
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V
Salut Lolita! Oué j'aimerais faire le PBP avec ce vélo mais c'est pas fait pour les grosses pentes. J'ai aimé voir ces forçats a mi parcours et à l'arrivée
J
Bravo Michel, d'abord pour la tentative et puis aussi pour ta sagesse. Les conditions n'étaient peut-être pas toutes réunies pour cette année mais t'es un solide aussi et tu reviendras.<br /> Bonne route en Auvergne<br /> A++
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V
Merci Jean Pierre, malgré les conditions non je n'aurais pas réussi, trop dur à vélo couché, je me contenterais des brevets beaucoup plus facile, merci
N
Merci, pour le compte-rendu Michel. J'ai rêvé que je faisais parti de l'équipe, tellement on est dans la réalité de l'exploit de ses personnes anonymes, qui se font plaisir. Bravo à ceux qui sont arrivés et à ceux qui ont tentés.
Répondre
V
Bonsoir, c'est vrai que j'adore cette mentalité qu'ont tout ces anonymes, encore bravo à eux.
J
Hello michel. Je suis sur que tu peut faire , la c'etait pas le bon mais l'a'nee prochaine c'est sur.
Répondre
V
Salut Jean Mi, non, pas en couché, l'état des routes secondaires de l'Aude sont pas terrible donc difficile et avec de sacrés bosses et je parle pas du vent. En vélo normal peut être mais pas en couché! et ne pas oublié qu'il y a l'age.
I
Eh Michel c'est grâce a toi si aujourd'hui je suis a ce niveau et que j'ai réussi a finir l'ERB11...<br /> Tu m'as tout appris sur la longue distance et je t'en remercie....<br /> Allez @+
Répondre
V
Beu beu, t'es pas fou! c'est bien grace a toi et non a moi. Tu es fait pour ça, tu as surtout le mental. J'aurai parié n'importe quoi que tu le ferais et maintenant tu peux passer partout, encore bravo!
B
Beau compte-rendu d'une épreuve qui n'a pas épargné les participants ! Pas simple quand il faut affronter pêle-mêle longue distance, pentes raides et météo pourrie ..
Répondre
V
Oué, j'avais un peu trop présumé de mes forces, même les solides ont trouvé l'épreuve pas facile
L
Effectivement respect à tous ces participants et comme dirait Philippe , tout se passe dans la tête. Pas grave pour ton abandon, tu reviendras! Et puis ça t'a permis de mieux jugé cette épreuve
Répondre
V
Oué, pas fait pour le vélo couché! Mais organisation et accueil rare!